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Majestic – La splendeur de la Belle Époque, le bijou de la ville
29 mars, 2018 / , ,

Dans la Rue de Santa Catarina, en pleine
zone historique, le Majestic est un arrêt
obligatoire pour ceux qui visitent Porto.
La localisation privilégiée, la façade et
la décoration font de ce lieu un espace
unique dans la ville.

 

L’espace a été inauguré le 17 décembre 1921,
mais à cette époque, il avait comme nom: Elite.
Ce projet, élaboré par l’architecte João Queirós,
fonctionnait comme une espèce de club privé; avec
le changement de nom, Majestic est devenu un point
de rencontre de la haute société, des bohèmes et des
intellectuels. Au long de son histoire, il a été lieu de
réunions, point de passage d’artistes qui visitaient
la ville et lieu de passage d’hommes d’états et de
célébrités.
Avec la II ème Guerre Mondial, le café est entré dans
une période de décadence, obligeant la vente de son
riche patrimoine aux enchères.
Pendant la rénovation réalisée dans les années
90, il s’est avéré que seuls les appliques des murs,
les miroirs (venus d’Anvers) et les sofas étaient
originaux, même si ils avaient déjà été restaurés.
Afin de maintenir l’esprit original, des répliques ont
été reproduites à partir des éléments disparus.
À partir de la moitié des années 90, le Majestic a
conquis une place unique dans le coeur des habitants
de Porto et des touristes, en ayant gagné également
plusieurs distinctions internationales.

L’espace
Le Majestic est une superbe exemplaire d’Art
Nouveau, en présentant une imposante façade en
marbre, avec trois élégantes portes tournées vers
la Rue de Santa Catarina. À l’intérieur, de grands
miroirs, des luminaires en métal travaillé et des
sculptures en plâtre se distinguent.
La cour intérieure, construite en 1925, a été idéalisée
comme un jardin d’hiver. Autrefois, il y a eu une
fenêtre tournée vers la Rue Passos Manuel, où on
vendait des journaux et du tabac. Dans cette cour, se
déroulent des concerts pendant l’été, mais durant
toute l’année, le Majestic est également un espace
culturel grâce au piano à queue et aux expositions de
peintures au sous-sol qui a déjà été une salle de billard.

Curiosités:
J. K. Rowling fréquentait le Majestic quand elle
vivait à Porto et c’est à cet endroit qu’elle a
commencé sur le livre “Harry Potter et la Pierre
Philosophale”
L’ancien président du Brésil Juscelino Kubitschek
a répondu de la manière suivante lorsqu’on lui
a demandé ce qu’il avait préféré lors de sa visite
au Portugal : “ Et bien.. ma foi… du Majestic… en
définitive, je suis aussi un fils de Dieu!!!”

Boavista Futebol Clube – Le club des “maillots bizarres”
27 mars, 2018 / ,

Champion du Portugal en 2000/01, le Boavista a une histoire de plus de 100 ans. Fondé par des britanniques a attiré l’attention dans les années 90. Son équipement à carrés, comme un damier, l’a fait devenir connu en Italie comme “le club des maillots bizarres.”

La Grande-Bretagne, qui en raison de l’activité du vin de Porto, avait une grande communauté dans la ville, a présenté le football à Porto. Le The Boavista Footballers a été fondée en 1903, mais quelques années plus tard, un désaccord sur les jours des matches – les Portugais préféraient le dimanche, les Britanniques voulaient jouer le samedi – a fait les sujets de Sa Majesté abandonner le club.

 

Déjà autant que Boavista Futebol Clube, le club á eu une forte croissance au cours des décennies suivantes. Le point culminant a été de gagner la
Coupe du Portugal en 2000/01.

La participation dans les épreuves Européennes est devenue habituelle et en 1991/92 lors d’un match de Coupe UEFA contre l’Inter Milan, est
venu le surnom de «club de maillots bizarres,” en référence à la tenue noir et blanc à damiers.
Au Stade do Bessa, rénové pour l’Euro 2004, il y a un musée de l’histoire du club, une promenade de la gloire et deux sculptures de José Rodrigues dans la panthère, emblème du club est mis en évidence.

Saviez-vous que? Le cinéma portugais est né à Porto.
23 mars, 2018 / , ,

La sortie du personnel ouvrier de l’Usine Confiance”(“A Saída do Pessoal Operário da Fábrica Confiança”), de 1896, serait le premier film fait au Portugal.

La naissance du cinéma portugais est liée à la ville de Porto et à un l’homme qui avait comme passe-temps la photographie et le commerce comme activité principale.

Aurélio da Paz dos Reis était un passionné de l’image et, en plus de fl eurs et de graines, il vendait également des pellicules, des machines à écrire et des automobiles.
Il suivait avec intérêt toutes les innovations qui se faisaient à l’époque et essaya d’acheter un cinématographe aux frères Lumière.Ayant échoué, il acquit, avec son beau-frère
un dispositif cinématographique.

C’est avec cet équipement qu’en 1896 il fi t ce qui serait considéré comme le premier fi lm portugais: “A Saída do Pessoal Operário da Fábrica Confiança“. Cette fabrique à chemises, située dans la Rua de Santa Catarina, n ° 181, fut le scénario choisi, peut-être sous l’influence du film des frères Lumière (1894/1895), «La Sortie de l’usineLumière à Lyon».

Le premier cinéma de la ville, le Salão HighLife, serait inauguré en 1906.

Le musée de la Pharmacie de Porto – L’histoire de l’humanité à travers la santé
19 mars, 2018 / ,

C’est un musée moins connu de Porto, mais les histoires qu’il raconte commencèrent il y a des milliers d’années. Jusqu’au mois de mars, seront exposés des objets qui jusque-là n’ont jamais été montrés.

Malgré qu’il soit en dehors du circuit touristique, ce musée réuni et expose des objets qui vont intéresser ses visiteurs de tout âge. Jusqu’au 31 mars, et pour commémorer les 21 ans de ce musée, il est possible de visiter l’exposition “Museu Global 20+1”, avec des objets qui seront maintenant montrés pour la première fois au public, comme l’emballage de la première pénicilline administrée au Portugal, en 1945.

 

Um masque de fer, utilisé au XVIIème siècle pour traiter les maladies psychologiques ou moral, ou bien encore le sac-à-dos des médicaments emmené par l’alpiniste João Garcia quand il escalada l’Everest, sont quelques objets que vous pourrez voir à cette exposition.

 

Le Musée de la Pharmacie montre des objets utilisés par les civilisations antiques et de différentes cultures, comme la Mésopotamie, l’Egypte, la Grèce, Rome, les Incas, les Aztèques, l’islam, l’Afrique, le Tibet, la Chine ou le Japon, entre autres. Une reconstitution d’une ancienne pharmacie de Porto montre le patrimoine de la pharmacie portugaise.

 

Informations :

728 rue Engº Ferreira Dias, Porto

Horaire : du lundi au vendredi, de 10 à 18hoo et le dernier samedi de chaque mois de 14 à 18h00.

Billets: adultes 5.00€; étudiants: 3,50€; >65 ans, 3,50€; 50% pour les usagers de la Porto.CARD

 

 

Alexandre Quintanilha
15 mars, 2018 / ,

Scientiste internationalement reconnu, Alexandre Quintanilha est né en Afrique et a vécu aux Etats-Unis avant de s’enraciner à Porto où il a dirigé l’Institut de Biologie Moléculaire et Cellulaire où il a donné des classes jusqu’à se jubiler. Actuellement il est député dans Assemblée de la République (Parlement).

Il est né è Mozambique le 9 août 1945. Son père était un biologiste fameux mais Alexandre a commencé par étudiez physique. Il s’est licencié en physique théorique á l’université de Johannesburg, dans l’Afrique du Sud. Il a voyagé plus tard aux États-Unis, il a étudié dans la prestigieuse université de Berkeley en Californie. C’est pendant ce période, quand il habitat à San Francisco, qu’il a connu Richard Zimler, qui était un étudiant à cette époque-là. Zimler, avec qui il se marierait déjà au Portugal, est aujourd’hui un écrivain fameux et est aussi un professeur universitaire.

Entre 1983 et 1990 il a été directeur assistant de la section d’énergie et ambiance au laboratoire national Lawrence. Dans les ans 90 il a été défie á retourner au Portugal et aider à fonder l’Institut de Biologie Moléculaire et Cellulaire duquel il viendrait à être le directeur. Son retour à Porto est arrivé à cause de l’invitation du neurologiste Corino de Andrade qui à ce moment pensait déjà à créer l’Institut de Sciences Biomédicales Abel Salazar. Ce serait là     qu’Alexandre Quintanilha serait professeur jusqu’à sa jubilation. Il est l’auteur de publications aux areas de biologie, ambiance et physique appliquée.

C’est le seul portugais membre du conseil pour l’investigation et l’exploitation de la National Géographique Society. Il a publié environ 100 articles dans différentes revues scientifiques de niveau mondial, il a été éditeur et auteur de six volumes dans les areas de biologie et ambiance. Plus qu’un scientiste Alexandre Quintanilha est un passionné par la connaissance. Il a vécu en trois continents, il parle quatre langues et aime quereller constamment ce qui semble certain. Si, d’abord il a senti quelques difficultés à s’adapter à la ville, il s’est laissé rapidement contagionner par la beauté de Porto et par la forme cordiale comme il a été reçu.

Art sur les portes
13 mars, 2018 /

Une Promenade par les rues de Porto, même pour qui connait la Ville, révèle toujours des détails surprenants. Regarder, avec un peu plus d’attention, les portes des édifices les plus anciens, peut nous donner à connaitre un art presque oublié : les battants des portes.

Avant l’invention des sonnettes, les visites se faisaient annoncer en battant aux portes. Pour faire le son audible et ne pas faire mal aux mains des visiteurs, c’est nécessaire de créer un accessoire placé sur la propre porte. Les battants sont souvent, des authentiques œuvres d’art, en représentant des mains, des fleurs et même des animaux. En usant des matériaux comme le bronze, le fer ou le laiton, les battants ont été assez populaires pendant le siècle XIX et le commencement du siècle XX.

Les sonnettes et les portes d’aluminium ont rendu cet objet presque inutile, mais il y a encore beaucoup de maisons qui n’abdiquent pas d’avoir des battants, même quand ils ne sont pas utilisés.

L’auteur, de la page Porto a Penantes a parcouru divers points de la ville et a photographie quelques des exemplaires les plus originaux; de Foz jusqu’au Centre, en passant par la zone historique, ce sont beaucoup les battants qui décorent les portes de la ville.

Quand vous vous promenez à Porto, il vaut la peine passer du temps à découvrir ces petits détails.

PortoaPenantes

Les Suggestions de Jorge Curval
13 mars, 2018 /

 

Né à Porto en 1958, Jorge Curval a déjà participé dans des expositions individuelles et collectives au Portugal et dans des pays comme la Grèce, la France et l’Espagne. Ses endroits favoris à Porto, réfléchissent son amour par l’art, mais aussi la permanente recherche par l’innovation de cet artiste, qui est aussi professeur et surtout, passionné par les bonnes choses de la vie.

Avec des travaux en collections publiques et privées-t-il a dédié une partie de sa carrière au partage de connaissances.

Depuis 1997 il enseigne la chaire d’Arts Plastiques au Museu Nacional Soares dos Reis  à Porto. Il est responsable par les workshops de Peinture au Museu Centro Memória de Vila do Conde et au Palácio das Artes Fundação da Juventude de Porto. Peintre, sculpteur, designer et bon vivant, Jorge Curval suggère la visite à des endroits de Porto où l’art est très présent, pour jouir la tranquillité et le paysage.

 

 

 

Bar: en été, le Base, par l’ambiance hétérogène de sers clients, par son bon air, car nous fournit de pur oxygène, puisqu’il est en plein air et par sa musique

En hiver, le Bonaparte au centre de la ville par sa décoration accueillante et l’hétérogénie de gens, avec un mélange de plusieurs âges et pays d’origine.

Restaurant: Digby  à l’hôtel Torel Avantgarde, parce qu’au-delà de me sentir chez moi, je jouis une vue paysagiste unique de contemplation sur la rivière et l’embouchure du Douro et d’une gastronomie soignée, attachée aux saveurs de tout le monde.

Promenade en ville : se promener et jouir dans le parc de la ville, en ayant des fronts diversifiés de terre, mer et bois. Il est, sans quelque doute, l’un des plus complets parcs du monde.

Statue: O Desterrado au musée Soares dos Reis, c’est une pièce exemple de la sculpture du Romantisme Portugais, avec laquelle j’ai vécu ensemble pendant trois années, pendant que j’étais orienteur d’ateliers d’arts plastiques dans ce musée

Peinture: instrument de musique 1915-16 d’Amadeu Sousa Cardozo de la collection particulière du Musée Nacional Soares dos Reis.

Monument: Teatro Nacional S Joao par son projet classique et bien récupéré. C’est pour moi un ex-libris de la ville, sans négliger la Maison de la Musique et Serralves.

Un secret de la ville: situé derrière le Palais du Justice, le jardin ou Potager des Vertus se développe en levées de terre, en permettant une excellente perspective sur la rivière Douro et l’imposante Alfândega do Porto. C’est un jardin peu connu et visité, mais toutes les fois que je le visite, je sens qu’il est comme un secret dans la ville.

Le premier tramway électrique dans la Péninsule Ibérique
12 mars, 2018 /

Jusqu’à la fin du XIX siècle, les carrosses de traction animal étaient le transport le plus commun. Le premier tramway électrique est apparu en Allemagne en 1879. En Septembre de 1895, ce serait la fois de Porto.

Porto c’est développé beaucoup pendant le XIX siècle et dans la dernière décade de ce siècle c’était chaque fois plus nécessaire trouver un moyen de transport économique, qui permettrait d’une façon plus rapide se déplacer dans une ville en expansion. On a même pondéré l’hypothèse d’user des ascenseurs dans les rues avec un déclive plus grand, mais l’option finirait même pour retomber sur le tramway électrique.

Porto serait pourtant, la première ville de la Péninsule Ibérique à recevoir le tramway électrique.

La première ligne a été inaugurée en 1895 en faisant la liaison entre le Carmo et Arrábida, en arrivant plus tard à Foz et Matosinhos. L’arrivée des autobus et l’accroissement du numéro d’automobiles ont dicté une diminution dans le numéro de lignes et de passagers.

Actuellement il y a encore trois lignes en fonctionnement.

Ligne 1 – fait la liaison entre le centre historique et le Jardin du Passeio Alegre le long des rives de la rivière Douro

Ligne 18 – joint Massarelos au Carmo

Ligne 22 – parcours circulaire entre Carmo et Batalha/Guindais

 

Jardim do Morro – Porto vu de Gaia
9 mars, 2018 /

Plus qu’un jardin, c’est un point de vue privilégié sur le Rio Douro et sur la ville de Porto. Le Jardim do Morro, à Gaia, est un excellent lieu pour assister au Sunset ou pour faire une promenade tout en profitant du paysage.

Pour qui ceux qui sont à Porto, l’accès à ce jardin, dans l’autre côté du Rio Douro, peut se faire de métro, puisqu’il y a une gare devant, ou à pied, traversant sur le tablier supérieur du pont D. Luís.

Le jardin, récemment réaménagé occupe le lieu d’une butte qui a été détruite, pour construire une avenue liant Gaia à la partie supérieur du pont et donc à Porto.

Le jardin a été inauguré en 1927 et depuis cette époque c’est un point de vue privilégié pour observer Porto. Le lac, la grotte et les bancs de pierre, récemment placées, donnent du charme. Le réaménagement récent a amélioré les conditions de cet espace vert, avec maintenant un café et des structures de services.

 

 

 

 

Avenida da República, Vila Nova de Gaia

La Tragédie de la Maison des Sirènes
9 mars, 2018 / ,

Aussi connue comme Palácio da Bandeirinha la Maison des Sirènes (Casa das Sereias) – ainsi nommée due aux deux images qui sont à côté de la porte principale –  a été construite au milieu du siècle XVIII pour la famille Portocarrero.

L’édifice, un palais imposant que, même aujourd’hui se signale dans le paysage de la ville, a été construit à l’endroit du Cimetière des Hébreux et de l’ancienne juiverie. La famille, malgré sa richesse et prestige n’a pas échappé à quelques épisodes tragiques.

Le propriétaire de ce monument est mort dans un accident en bateau dans le Douro et comme il n’avait pas d’enfants, le palais a passé pour son frère.

En 1809, pendant les Invasions Françaises un groupe de populaires, convaincu que l’un des éléments de la famille était complice des français, l’a abattu dans la cour de la maison.

Les Portocarrero qui, cependant ont perdu d’autres membres de la famille d’une façon tragique, ont abandonné le palais et ne sont plus rentrés. L’édifice a été fermé jusque 1995. Il a été vendu à l’Institut das Filhas da Caridade, qu’y ont installé un collège qui est encore maintenu en fonctionnement.